Un réalisateur un peu paumé, des images bleues acier, une sensualité de papier glacé, une actrice qui n'a pas fait carrière mais qui incarne parfaitement, jusque dans les silences butés, la petite Marguerite Donnadieu, et une scène d'amour qui s'est voulue démonstrative.
dimanche 4 octobre 2009
The lover
Un texte fluide et envoûtant, qui s'attache souvent bien plus aux détails charnels et sensoriels qu'à une chronologie strictement autobiographique. On peut reprocher un tas de choses à l'adaptation cinématographique de L'amant par Jean-Jacques Annaud, entre autre n'avoir pas su décoller du récit comme le récit l'y invitait au lieu de chercher à illustrer au millimètre chaque mot, mais le film a le mérite de restituer le texte de Marguerite Duras, magnifiquement dit par Jeanne Moreau et de donner furieusement envie de découvrir cette oeuvre.
Un réalisateur un peu paumé, des images bleues acier, une sensualité de papier glacé, une actrice qui n'a pas fait carrière mais qui incarne parfaitement, jusque dans les silences butés, la petite Marguerite Donnadieu, et une scène d'amour qui s'est voulue démonstrative.
Un réalisateur un peu paumé, des images bleues acier, une sensualité de papier glacé, une actrice qui n'a pas fait carrière mais qui incarne parfaitement, jusque dans les silences butés, la petite Marguerite Donnadieu, et une scène d'amour qui s'est voulue démonstrative.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire