Dans le silence rouge
Le corps de la femme ondule
Au rythme de la musique noire.
Dans le silence rouge,
Les yeux des hommes brillent comme braise
Et la musique lancinante
Semble sortir des flammes de l’enfer.
C’est la femme, c’est la danse,
C’est Satan, C’est le rythme effréné de la musique noire
La musique s’est tue. La femme a disparu.
Seul vestige, à terre,
La robe rouge de la danseuse.
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